Depuis ce lundi 13 septembre, la campagne de rappel vaccinal a débuté au sein des EPHAD. La 3e dose est nécessaire pour renforcer la protection des personnes fragiles et limiter les risques de faire une forme grave de la COVID19.
Pourquoi ?
Renforcer la protection vaccinale auprès des personnes qui ont un taux réduit d’anticorps ou une immunité fragile. L’immunité s’affaiblit après 65 ans et les personnes atteintes de diabète ou d’un cancer par exemple ont moins d’anticorps que les autres. La 3e dose permet au corps de lui faire une « piqûre de rappel » afin qu’il puisse combattre la maladie. Il peut arriver dans de très rares cas que les 3 doses ne suffisent pas malheureusement pour les personnes immunodéprimées (où le système immunitaire n’est plus capable de faire face correctement à des agents pathogènes).
Pour qui ?
En priorité pour les personnes de plus de 80 ans puis pour les plus de 65 ans. Les personnes immunodéprimées ou atteintes de comorbidités sont également concernées. A date, les moins de 65 ans sans comorbidités ne sont pas concernées par la 3e dose. Cela peut être amené à évoluer selon la situation épidémique et la recherche scientifique.
Pour quand ?
La 3e dose de vaccin doit être injectée 6 mois après la seconde.
A retenir
80% des personnes hospitalisées dû à la COVID19 ne sont pas vaccinées ou que partiellement. Certains vaccins nécessitent déjà 3 doses puis des rappels tout au long de notre vie comme celui contre le Tétanos ou le Pneumocoque par exemple.


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